Les relations entre les patrons du FC Barcelone et du PSG semblent être en train de se réchauffer. Ce mercredi, Nasser Al-Khelaïffi et Joan Laporta se sont même accueillis avec des sourires lors d’une rencontre à Rome, qui avait lieu dans le cadre de l’EFC (European Football Clubs, autrefois connu sous le nom d’ECA).
Le président du PSG avait tout de quoi être de bonne humeur, car le Barça aurait décidé d’abandonner ses projets de Superleague, avec l’objectif de revenir dans le giron sympathique de l’EFC. « Le président de l’EFC nous a tendu la main, et nous l’avons acceptée avec plaisir. Les relations avec Al-Khelaïffi sont excellentes. Nous prônons la paix dans le football européen. » a déclaré Joan Laporta, qui a aussi ajouté : « L’objectif est de trouver un terrain d’entente et de réintégrer l’UEFA. C’est ce que tous les clubs désirent. Participer à ces discussions est positif pour l’avenir. »
Lamine Yamal pourrait devenir le joueur le plus cher de l’histoire
Mais ces beaux échanges ne sont peut-être pas à l’abri de tensions, notamment avec la rumeur selon laquelle le PSG envisagerait sérieusement de recruter Lamine Yamal durant le mercato estival à venir. Et pour cela, les champions d’Europe sont prêts à faire chauffer la carte bleue.
D’après Defensa Central, le club parisien songerait à offrir pas moins de 230 millions d’euros au Barça. Cette somme dépasserait les 222 millions d’euros que le PSG avait déboursés pour s’attacher les services de Neymar en 2017, propulsant Yamal au rang de joueur le plus onéreux de l’histoire du football.
Cependant, ces 230 millions d’euros restent insignifiants par rapport au montant stratosphérique de la clause libératoire fixée pour la jeune pépite catalane, qui s’élève à un milliard d’euros depuis son prolongement de contrat au printemps dernier, le liant au club jusqu’en 2031. Même face à de lourdes difficultés financières, avec une dette avoisinant les 500 millions d’euros, le Barça semble bien en position de garder son joyau et pourrait tout simplement dire « non » au PSG.
