Valérie Lemercier, l’humoriste française bien connue, va bientôt retrouver la scène avec son nouveau one-woman-show qui débute à Paris dès le 15 octobre. Dans Le Parisien, paru le 11 octobre, elle a fait quelques révélations inattendues concernant sa vie et son prochain long-métrage intitulé Bistouri dont le tournage est programmé pour le printemps. Elle explique : « C’est l’histoire d’une femme qui a un peu trop abusé de la chirurgie esthétique, ou plutôt que les autres ont abusé… »
Durant cet entretien, Valérie Lemercier a pris la parole sur ses propres expériences concernant la chirurgie. Selon ses dires, « Il y a des médecins qui se permettent de faire des ‘cadeaux’. J’ai des amies à qui on a fait des opérations sans leur accord, comme un lifting qui a changé leurs yeux. C’est un peu comme un boucher qui mettrait un supplément de viande dans votre commande. » La comédienne a admis avoir subi une intervention il y a deux décennies : « Il y a vingt ans, j’ai fait ‘aspirer’ mon menton, mais c’est tout. On pourrait effectivement croire que j’ai eu des liftings, mais regardez, je n’ai aucune cicatrice. Non, je ne fais pas de botox non plus, mais je privilégie les massages, j’y crois largement plus qu’aux crèmes. »
Au cours de cette interview, elle a également choisi d’évoquer le sujet de sa relation actuelle avec un homme plus jeune. Elle a partagé qu’il a 37 ans pendant qu’elle en a 61, donnant l’occasion à l’intervieweur de faire une remarque innocente qui a beaucoup intéressé le public : « T’es un peu vieille. » Valérie, avec sa verve habituelle, a accepté cette observation : « Oui, tu as raison, je suis vieille. » Sa réaction montre clairement qu’elle a un rapport apaisé avec son âge.
Cependant, tout cela n’a pas toujours été facile pour elle. Dans une interview avec Gala, elle a confié avoir été profondément affectée par des critiques sur son apparence physique. « Je n’étais vraiment pas la plus belle de l’école. Une de mes tantes m’a même dit un jour que je n’étais pas jolie. À l’école, j’entendais souvent : ‘Avec un oreiller, ça passera !’, ce qui était tellement humiliant. Mais je savais qu’il y avait plus à vivre et qu’il me fallait avancer. »
Elle continue en disant : « Quand j’ai commencé dans ce métier, on a beaucoup parlé de mon physique. J’ai reçu des lettres peu aimables sur la chirurgie esthétique, et lors de ma première apparition dans ‘Nulle part ailleurs’ (Canal+), des questions m’ont été posées sur ce que je pensais de mon apparence. Les temps ont changé depuis, heureusement. »
