Ariana Grande brille dans le rôle de Glinda dans « Wicked », un rêve devenu réalité pour la chanteuse. Pourtant, ce retour tant attendu l’amène à faire face à des critiques lourdes sur son apparence. Duties body shaming, rumeurs de santé et conjectures diverses, elle a choisi de répondre avec sa dose d’humour et d’authenticité.
Cette occasion tant rêvée de jouer Glinda, personnage phare du « Magicien d’Oz », est enfin réalisée. Et le succès est au rendez-vous avec plus de 730 millions de dollars de recettes dans le monde depuis sa sortie fin 2024 de « Wicked: Part One », faisant un score record pour une comédie musicale adaptée de Broadway.
La partie suivante, « Wicked: Part Two », promet d’avoir le même succès avec sa sortie prévue le 26 novembre prochain en France. L’équipe du film, comprenant Cynthia Erivo, Jonathan Bailey et bien sûr Ariana, s’active sur le tapis rouge, enchaînant les avant-premières dans un tourbillon de fervents ovations. Cependant, c’est principalement Ariana Grande qui capte toutes les attentions.
Il est intéressant de noter que les apparitions d’Ariana sont devenues de plus en plus rares. Avant, elle était omniprésente dans les médias, mais après l’agression au Manchester Arena en mai 2017, tout a changé. Depuis, l’artiste a fait part de sa lutte contre l’anxiété, la dépression et le syndrome PTSD. Son retrait des feux des projecteurs a malheureusement nourri les spéculations et engendré de nombreuses critiques sur son image.
« Le corps auquel vous comparez mon corps actuel était la version la plus malsaine de moi-même, »
À chaque fois qu’elle refait surface, les commentaires fusent. Dans le cas de « Wicked », ses changements capillaires — passant au blond lumineux avant de revenir à ses cheveux bruns habituels — n’ont pas échappé à des jugements cinglants tels que « je ne la reconnais plus », et les réflexions sur son poids tirées par le fil des réseaux sociaux.
Ariana est une cible régulière pour des avis souvent blessures sur son corps. Jugée trop mince ou accusée d’être malade, elle a décidé de répondre directement. Dans une vidéo accessible sur TikTok, elle a souligné, « le corps que vous démontriez dans les comparaisons était en réalité une version extrêmement malsaine de moi où j’étais au plus bas. »
« J’ai reçu un tas d’injections dans les lèvres et du Botox au fil des années. »
Concernant le personnage de Glinda, elle explique que certains aspects de son apparence ont necessité des ajustements et des défis d style : « Certaines modif vont peut-être rester à jamais, mais je suis encore à la recherche de mes sourcils », avoir finalement confié lors d’une interview avec « Variety » le 1er janvier 2025. Manquant certains détails après avoir reçu un maquillage illustre pour le rôle, elle a avoué que la transformation de son apparence était incontestable.
Dans un contexte où on130 a bénéficié de spéculations sur une possible chirurgie esthétique, Grande a décidé d’y aller par une bonne blague. En recevant le prix « Rising Star » pour « Wicked » récemment, elle a plaisanté : « Qui aurait cru qu’à 31 ans, j’entendrais encore le terme “rising star”. Je veux remercier particulièrement mes chers amis : Botox et Juvederm. »
Cependant, cette blague a également ravivé diverses rumeurs, ce qu’il l’a poussée à réaffirmer dorénavant : « Je suis toujours clean, mais lorsqu je reprend, vous serez les premiers à savoir comment je fais autour! » Uint le Botox, son arrest des produits d’injections en 2018 vient également avec une touche honnête : « Je ressentais comme si j’étais un secret, vous savez avec mes produits de beauté. » raconte-t-elle, émue dans une vidéo tendre pour « Vogue ».
Sa détermination transparent pour des discussions sur le body shaminga apparu également dans une mise au point avec la créatrice de contenu Sally. Elle a partagé avec sérenité « J’ai été au cœur de critiques sans relâche. On me dit de changer et ensuite on m’accuse pour l’avoir fait. Critiqué pour la moindre détail, y compris mon apparence corporelle. »
Cette sincérité touche droit au cœur et capture l’ essentiel, de plus en plus de femmes doivent% d 긴 réflexion sr peuvent स्ящий toute leur énergie à navigator à Markdown criticism sans compter sur l’effet déterminant sur leurs travail.
