La surprise de Rachida Dati sur le plateau de LCI : un moment surréaliste

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Un moment mémorable ! Ce mardi 22 juillet, Rachida Dati, l’invitée surprise du segment d’actualité animé par Thomas Misrachi, a captivé les téléspectateurs alors qu’elle s’est présentée pour défendre sa vérité. La ministre de la Culture est sous le coup d’un renvoi au tribunal pour des allégations très sérieuses de corruption et de trafic d’influence.

Le présentateur a introduit Rachida Dati en posant la question : « Vous êtes soupçonnée d’avoir touché 900.000 euros entre 2010 et 2012 pour des conseils donnés au groupe Renault-Nissan, des services que vous n’auriez pas exécutés », a-t-il précisé avant de la laisser s’expliquer.

Dati a réagi avec émotion, rappelant qu’elle a des proches concernés par ses problèmes judiciaires. « Certaines personnes jouent de façon plutôt honteuse avec la situation, mais n’oublions pas que j’ai une fille. Pendant un instant, la première pensée que j’ai eue c’était : « cela veut dire la prison » », a déclaré la femme politique tout au long de son intervention sur LCI, niant fermement les accusations portées contre elle.

Le ton s’est intensifié lorsque Misrachi a finalement changé de plateau pour discuter de la défense de Dati avec d’autres invités, dont Damien Fleurot et Guillaume Roquette. Ce dernier a relevé que les arguments avancés par Dati étaient puissants, tout en soulignant qu’il était important de noter que Renault est partie civile dans cette affaire, soulevant une remarque qu’elle a omis de clarifier auparavant.

Sa réaction à cette amélioration de l’ancien magistrat s’est avérée acerbe. En effet, alors que Misrachi posait des questions à une journaliste, Alexandra Guillet, Dati a interrompu brusquement, créant un malaise palpable sur le plateau. Loin de se laisser faire, elle a remis en cause les déclarations de Guillaume Roquette : « Vous dites que Renault est partie civile. Mon contrat d’avocate est signé avec Renault-Nissan, c’estCette alliance qui gère les installations à l’étranger ! »

Guillaume Roquette a néanmoins tenté de répondre, mais Dati, apparemment décidée à avoir le dernier mot, a continué son plaidoyer sans lui donner la parole. « C’est tout, il n’y avait rien d’autre ? » s’est exclamée Dati, tandis que Misrachi montrait de signes d’agacement : « Vous êtes la personne qui a pris le contrôle de cette discussion », a-t-il contesté.

En fin de compte, Thomas Misrachi a clôturé cette séquence en l’appelant à rester concentrée sur les faits : « On n’est jamais déçu avec vous, c’est sûr. Vous voulez clairement démontrer votre innocence et rappeler que vous êtes victime dans cette histoire. »

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