Isabelle Morini Bosc : Une année tragique avec la perte d’un pilier de sa vie

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Pour Isabelle Morini Bosc, 2025 ne semble pas être l’année de toutes les joies. En effet, quatre mois après avoir dit adieu à Alain, l’amour de sa vie, c’est au tour d’un autre être cher de nous quitter.

Seenième tragédie pour Isabelle cette année, alors qu’elle annonce sur X la perte de sa maman. Dans un message émouvant, elle écrit : « Maman, tu nous as transmis, à Manu [le frère cadet, NDLR], Faby [sa sœur aînée, NDLR] et à moi, l’amour pour l’humour, la nature, l’histoire, l’art, les arbres, les clochers, et le goût des sentiers et des intelligences humbles. » Ces mots accompagneront deux photos de sa mère, généralement habillées de rouge. Elle finit par : « Cela fait une semaine que tu es partie, je t’aime tant, ma Maman. »

Isabelle Morini Bosc : Une année pleine de peine…

Cette annonce a profondément touché les amis et fans d’Isabelle. Nombreux sont ceux qui ont commenté pour lui offrir leur soutien pendant ces moments éprouvants. Sa collègue de Touche pas à mon poste, Géraldine Maillet, lui témoigne toute sa force, tandis que Laurence Boccolini lui adresse : « Une pensée pour ta maman et pour toi. Je t’embrasse fort. »

Récemment, l’année 2025 a véritablement mis ses émotions à l’épreuve. En mars dernier, la journaliste reconnue dans le monde des médias avait déjà annoncé, sur ses réseaux, la disparition de son mari Alain. Sous une photo d’eux deux, elle avait partagé ses sentiments : « Il devait être un ami d’une nuit, mais il a été l’homme de ma vie. Mon homme. Alain est parti un vendredi et il aimait profondément Dieu, la vie, ses amis et les miens. Je continuerai à les aimer pour nous deux. »

Ce post avait suscité un élan de solidarité et de réconfort dans les commentaires. Dans une seconde photo provenant de leur mariage, Isabelle Morini Bosc finissait son message par une note douce en remerciant sa seconde famille, celle du petit écran : « Merci à Touche pas à mon poste de nous avoir offert notre ‘famille-en-or’, où, avec Cyril, nous avons tant ri. »

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