Le 14 juillet, Donald Trump avait donné un ultimatum de 50 jours à Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Suite à sa déception, il a décidé de « réduire » ce délai.
Prenant la parole depuis Turnberry en Écosse, Trump a exprimé son « grand mécontentement » vis-à-vis de la réaction de son homologue russe, indiquant qu’il allait « réduire la durée » des 50 jours impartis.
Cette menace a été formulée le 14 juillet lorsque Trump a posé un ultimatum pour que la Russie mette fin à ses actions militaires en Ukraine. « Si nous n’avons pas d’accord sur la guerre [en Ukraine] d’ici 50 jours, les droits de douane passeront à 100 % [sur les produits russes], et c’est comme ça », avait-il alors averti. Cet ultimatum a, cependant, donné à la Russie l’opportunité de maintenir ses opérations militaires encore presque deux mois.
Une déclaration qui montre également que Trump reste critique : « Je suis très déçu par Poutine, mais je ne vais pas abandonner », a-t-il réaffirmé. Ces propos, il les renforce à nouveau à la fin du mois de juillet.
Dans un coin de la scène, le Kremlin a signalé, quelques heures avant cette annonce, qu’une rencontre entre Poutine et Trump n’était « pas exclue » lors d’un éventuel sommet en Chine en septembre.
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