Dans une escalade alarmante, la bande de Gaza a subi des bombardements israéliens intensifs ce mardi 16 septembre. Le ministre israélien de la Défense, Israëll Katz, a utilisé l’expression « Gaza brûle » pour décrire la situation, réaffirmant ainsi l’engagement d’Israël à intensifier son offensive.
Comme le rapporte l’agence de presse AFP, Katz a déclaré : « Gaza brûle. Tsahal frappe d’une main de fer les infrastructures terroristes, et nos soldats se battent vaillamment pour libérer les otages et défaire le Hamas. » Il a ajouté fermement que « nous ne céderons pas tant que notre mission ne sera pas accomplie. »
Des conséquences tragiques pour la population : La Défense civile de Gaza a décrit les frappes comme « un massacre majeur ». Émettant une grave mise en garde, le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a signalé que les bombardements se poursuivaient intensément et que « le nombre de morts et de blessés continue d’augmenter. »
Bassal a expliqué que « des morts, des blessés et des personnes disparues se trouvaient sous les décombres d’un immeuble résidentiel situé près de la place Al-Shawa à Gaza. » Il a décrit cela comme un « massacre majeur ».
Dans ce contexte tendu, le secrétaire d’État Marco Rubio, représentant des États-Unis, est attendu à Doha après avoir affirmé précédemment à Jérusalem le « soutien indéfectible » des États-Unis à Israël dans son combat contre le Hamas.
