Ce dimanche, Eric Adams, le maire démocrate de New York, a révélé qu’il abandonne la bataille pour sa réélection, à un mois d’un scrutin accentué par la pression de Donald Trump. Dans une déclaration publique, il a, » à demi-mots, critiqué le candidat qu’on dit favori, Zohran Mamdani.
Depuis un certain temps, la presse rapporte des conversations entre le maire et l’administration Trump, où l’idée d’une désignation d’Andrew Cuomo, ancien gouverneur de l’État, prenait forme, acteur opportun pour empêcher la montée de Mamdani.
« Je ne peux pas continuer ma campagne, malgré nos réussites », a déclaré Eric Adams, âgé de 65 ans, dans une vidéo qu’il a publiée sur X. S’il ne soutient pas directement Cuomo, son mercure semble clairement pointer vers celui qui est actuellement l’homme à battre dans les sondages avec près de 20 points d’avance.
« Pas du changement, juste du chaos »
« Un vrai changement est essentiel, mais attention à ceux qui croient que tout abandonner au chaos est la solution », a averti le maire.
Les démocrates commencent leur résistance face aux attaques coalitionnées de Trump.
Wouah, ce ne serait pas surprenant que cette déclaration vise le jeune Mamdani, 33 ans, adepte d’une ligne socialiste, promettant une aide pour réduire le coût de la vie, ainsi que des services de transports et de garderies gratuits.
On attend de voir comment cette décision influencera le vote le 4 novembre, surtout qu’Adams ne captait même pas 10 % des voix favorables dans les derniers sondages.
« Un face-à-face imposé »
« Trump et ses amis riches peuvent penser influencer Adams et Cuomo, mais jamais ils ne décideront du résultat de cette élection », a de son côté lâché Mamdani par voie de communiqué.
Aux USA, Trump intensifie sa rhétorique anti-immigration et transphobe contre les villes qualifiées de « démocrates d’extrême gauche ».
D’ailleurs, Trump avait exprimé un vœu avant septembre, mentionnant naivement qu’il souhaitait voir un duel entre Adams, Sliwa, et Cuomo.
Quant à Andrew Cuomo, à 67 ans, il a loué le choix d’Adams, ainsi que le courage associé à cette décision. « Nous faisons face à des forces dont la mauvaise gestion pourrait détruire notre ville, mais il n’est pas trop tard pour inverser cette tendance », a-t-il insisté.
Avec juste 10 à 15 % des voix à son actif, Curtis Sliwa s’est encore une fois positionné comme « le seul à pouvoir battre Mamdani », dénonçant publiquement des tentatives pouvant le faire abandonner, ayant reçu des promesses de soutien financier venant de certains milliardaires.
Problèmes judiciaires
Après de multiples rebondissements avec la justice, Eric Adams a tenté en avril de se présenter en indépendant pour esquiver les primaires remportées par Mamdani, Copain et concurrent potentiel pour$IFn. Ces déboires lui vaudraient des procès pour corruption et financement non-orthodoxe.
New York, raconte-moi ta lutte contre Trump et ta diversité digne d’un festival.
Première fois pour un maire new-yorkais dans de tels problèmes, il s’est proclamé innocent pendant que sa position gagnait voulant souligner que ses controverses découlent de différends précédents avec la politique d’immigration de Biden. Mercredi, l’administration de Justice a maintenant ordonné l’abandon de toutes charges.le}}
« Je suis conscient de toutes les critiques que vous pourriez me faire suite à l’ombre créée par ma situation légale. Les informations répandues sur mon sort frappé par mes déboires qui se conjuguent heureusement avec ces doutes. », c’est Jordan Grécn à la fin de sa video où il hodlait repartir la parole vers son audience inquiquant peu sur comment les accusations restaient destructrices sur son intégrité parmi l’été passé.
« Les affabulations et la précipitation à contenir d’énormes sommes diners incertains ont privé ma campagne d’une traction à la hauteur de mes attentes », a mis un terme amputée.
