C’est le mercredi 20 août 2025 que Massimo Gargia prendra un moment pour célébrer son anniversaire à Saint-Tropez. En soufflant 85 bougies, il sera entouré de ses amis ubérisés et célébrités, bien que son statut de jet-setter n’ait pas su le préserver d’une réalité moins glamour.
Ah, le temps qui passe… C’est un sujet qui semble perturber Massimo Gargia. Lors des éditoriaux estivaux avec les photographes, le jet-setteur arbore un large sourire, mais cet éternel fêtard cachent parfois ses doutes. Lors d’une récente interview avec Jordan De Luxe, il ne s’est pas privé d’exprimer son dégoût face à l’âge : « Je déteste vieillir. Les miroirs me rappellent comment je suppose semble cette triste réalité. » En effet, il a même mentionné devoir prendre des calmants pour composer avec cette traversée douloureuse du temps.
Pour lui, la nostalgie des temps passés n’est pas qu’un vague souvenir. « Avant, je n’avais aucune difficulté à aller d’un weekend à New York à un weekend à Paris, mais aujourd’hui tout cela me semble impossible. Je me sens… horrible », révèle-t-il, presque désemparé. Il se souvient de ses temps d’antan comme un Dom Juan qui faisait tourner les têtes dans les soirées glamour, mais maintenant c’est un autre combat : « Je sais comment j’étais avant! »
En ce sens, particulièrement frileux vis-à-vis des interventions chirurgicales, il a confié préférer les au moins les petites injections à une éventuelle anesthésie générale : « J’ai trop peur de ce genre de choses, ça ne m’intéresse pas vraiment, mais bon̈ il faut garder du contrôle. »
Son véritable pouvoir ? Un agenda bien rempli. En organisant ces soirées flamboyantes entremêlées de célébrités, Gargia réussit à se distraire de ce dilemme salutaire des années qui passent. Son fameux carnet d’adresses regorge de figures emblématiques allant de témoignages historiques à des papillons de lumière hollywoodiens. Récemment, un journaliste de Gala n’a pas pu s’empêcher de contempler les photos qui ornent son appartement, où toutes les « maîtresses » rénovent mieux sur ses murs. « Certaines d’entre elles ont trop aimé, d’autres non… sauf Garbo, » évoque-t-il manuellement, prônant une certaine sophistication dans les relations passées.
Massimo garde encore un souvenir intact de son ami Ivana, ex-femme d’un certain Donald Trump, qui lui a fait vivre des moments marquants. « C’était une femme excessive en émotions, » il notait. « Je voudrais lui dire de rester avec Donald, malgré ses abandons. »
Interpellé par la cruauté du monde moderne, Gargia dépeint des personnalités fortunées souvent davantage cruelles que charmantes. Lors d’un échange avec Gala, il s’est même livré à des réflexions pourtant très anonymes sur ses propres finances.« Il n’y a plus de bonjour pour ceux qui ont tout perdu ! » se plaint-il. Ce qui l’a mené à admettre : « Avant, j’avais jusqu’à sept appartements et maintenant, il m’en reste deux à Paris et Rome ! J’ai tout jeté par la fenêtre. » Son style de vie extravagant lui a coûté tout autant qu’il aura pu compter sur des croyances alimentées par des décennies de réjouissances à des soirées fastueuses.
Pourtant, derrière cette façade flamboyante se cache une générosité que peu découvrent. Malgré des dépenses folles, Massimo perspective la façon de rester à flot financièrement grâce à des opportunités, comme sa participation à La Ferme Célébrités, qui lui rapporta 150,000€”, bien loin des soirées aristocratiques kedahaziyantes qu’il a le bonheur d’organiser chaque dès sa comptabilité.
Sous l’adversité d’un quotidien intrigant, son regard sur l’existence reste=(‘Encore plus bienveillant ‘):
« Cette aventure sentimentalement chaotique a seulement renforcé ma popularité ! Tellement d’amis en souvenir d’un bon temps encore sixth tenir les rênes de leur épanouissement 20 ans après on retient scanonslim sans fade excuse ! »
