La transformation physique de Mathilde Seigner a suscité beaucoup d’intérêt l’année dernière. L’actrice a réussi à éliminer 10 kilos en utilisant une méthode un peu vintage, élaborée dans les années 1950. Ce régime l’a aidée à retrouver sa silhouette, mais elle est catégorique : ce n’est pas la solution idéale pour chacun.
Avec le lancement de la série Montmartre prévu ce lundi 29 septembre 2025 à 21h10 sur TF1, Mathilde Seigner fait aussi partie du casting. Cela a relancé l’intérêt pour un entretien accordé à France Dimanche en mai 2024, où elle a confessé avoir pris environ une dizaine de kilos lors de son entrée en ménopause, citant : « Lorsque j’ai commencé à faire face aux effets de la ménopause, j’avais pris quelques kilos supplémentaires ».
Pour retrouver son ancien poids, elle s’est tourné vers le docteur Kahina Oussedik, une experte, qui dirige le centre AminciKA. Sur leur site internet, on découvre que cette professionnelle a conçu une « approche nutritionnelle avec des règles alimentaires spécifiques visant à protéger et améliorer la santé de chaque individu tout en favorisant la perte de poids ».
Selon le site, « cette méthode unique repose sur deux principes clés : la biochimie des aliments et des combinaisons alimentaires existant depuis 1920 ». L’objectif principal ? « Perdre du poids et rééquilibrer son alimentation ». Pour cela, il faut maintenir une bonne glycémie et éviter peu à peu les aliments transformés.
Mathilde Seigner, adepte du régime Shelton des années 50, abandonne tout projet de réforme alimentaire standard
Avec sa passion pour la gastronomie « gourmande et riche« , Mathilde a « appris à dissocier ses aliments ». Ceci participe non seulement à une digestion plus facile mais réduit également les apports énergétiques, soutenant la gestion des calories. Ce régime connu sous le nom de régime Shelton a été développé par le naturopathe américain Herbert MacGolphin Shelton dans les années 50.
En suivant ces règles, il s’agit de ne consommer qu’un type d’aliment par repas. Les aliments alcalins comme les légumes et les fruits sont séparés de ceux d’origine acide tels que les viandes, les poissons et les céréales.
Cette approche a donc été bénéfique pour Mathilde, qui tient à préciser : « Bien que cela ait fonctionné pour moi, ça ne veut pas dire que c’est la solution pour tout le monde.«
