Aujourd’hui, à 41 ans, Laura Smet se révèle être une femme apaisée. Elle a un petit coin de paradis où elle aime passer du temps, situé à proximité de la mer, un cadeau de legacy de son père.
Fille des célèbres Johnny Hallyday et Nathalie Baye, Laura a grandi dans le tourbillon de la célébrité. Maintenant, elle aspire à une vie tranquille à l’abri des projecteurs, connectée à la nature et son amour pour la mer, un aspect profondément ancré dans le souvenir de son père. Dans une interview avec Madame Figaro, elle a partagé : « Chaque moment passé près de l’eau est significatif pour moi. »
Un lieu émotif en héritage de son père
Les souvenirs d’enfance au bord de l’eau ont façonné son identité. Elle a révélé être tombée amoureuse du Cap Ferret dès l’adolescence, une destination où elle a créé des liens solides. C’est ici qu’elle a reçu sa maison, un espace empreint d’émotion, bercé par les pins et l’odeur de la mer. « Cette petite maison à deux pas de la mer m’est très précieuse », a-t-elle avoué avec tendresse.
Ce havre de paix lui permet de faire une pause loin de l’agitation de Paris. Épouse de Raphaël Lancrey-Javal et maman d’un petit garçon nommé Léo, Laura affirme que la vie près de l’océan est indispensable pour son équilibre : « Me rapprocher de la nature est crucial pour mon bien-être. Sans ça, je ne peux pas avancer. »
Une mer bienfaitrice et apaisante
Pour l’actrice, la mer est bien plus qu’un simple paysage, c’est une source d’énergie et un refuge spirituel. Elle partage : « L’eau purge mes pensées négatives, » en plus de ressurgir des souvenirs puissants de sa grossesse : « J’adorais nager enceinte, c‘était flottant, et voir mon bébé bouger en moi était très rassurant. » Maintenant, elle prend plaisir à voir son fils s’amuser sur la plage : « Quand je le vois jouer dans les vagues, je me dis que cet environnement lui apporte un vrai bonheur. »
Outre ses attachements personnels pour l’océan, Laura Smet est aussi engagée pour la protection de l’environnement marin : « Je ramasse les déchets sur les plages, c’est ma façon de contribuer. » Elle agit à son niveau pour entretenir cet héritage maritime cher à son cœur, d’un père qui adorait la mer.
