Léa Salamé, une figure marquante du journalisme, cache un autre détail fascinant de sa vie que peu connaissent. Découvrez ce qu’elle fait en coulisses, loin des yeux du public.
Léa Salamé a récemment profité de moments ensoleillés au Cap Corse avec ses proches, comme on peut le voir sur ses publications Instagram du 18 août. Mais bientôt, la journaliste de 45 ans prendra un tournant important, en prenant les rênes du journal télévisé de 20 heures sur France 2 dès le 1er septembre. C’est un défi ambitieux pour celle qui s’est fait connaître grâce à sa présence dans On n’est pas couché aux côtés de Laurent Ruquier. Pour beaucoup, Léa est simplement l’animatrice qui brille sous les lumières, mais elle a également un rôle même derrière la caméra.
La majorité des gens la découvrent comme chroniqueuse, surtout à l’époque privilégiée du samedi soir dans son émissionQuelle époque !, où elle débat avec des invités sur des sujets de société contemporains. Toutefois, son rôle va bien au-delà de l’écran. En effet, Quelle époque ! n’est pas uniquement son émission ; elle en est en réalité la productrice via son entreprise, Marinca Prod. Fondée en juin 2021 et localisée dans le 9e arrondissement de Paris, la société, dont elle est la dirigeante, reste mystérieuse avec un manque d’informations publiques à son sujet.
Ce n’est pas tout. Marinca Prod collabore également avec une autre société de production, Winter Productions, cofondée par Hugo Clément et Régis Lamanna-Rodat. Ce duo est également derrière des projets comme La Grande semaine, l’émission hebdomadaire d’Ophélie Meunier et Sur le front, un programme sur les enjeux écologiques animé par Hugo Clément.
Léa Salamé, entre journalisme et production
Avoir une telle diversité de projets permet à Léa non seulement de s’épanouir mais aussi, sans aucun doute, d’ouvir de nouvelles sources de revenus en plus de ce qu’elle gagne en tant que présentatrice. Bien qu’elle évite de parler de son salaire, certaines rumeurs ont circulé concernant les offres qui lui ont été faites. Dernièrement, il a été dit que BFMTV avait approché Léa avec une proposition de 50 000 euros par mois pour animer un talk-show nocturne, dans le même esprit que sa propre émission. Cependant, elle a décliné cette offre, déterminée à se confronter à l’épreuve de 20 heures sur France 2, même en avouant qu’elle serait « deux fois moins payée » pour ce nouveau défi, comme elle l’a mentionné dans un entretien avec Libération.
