Dans le tumulte politique actuel, nombreux sont ceux qui pensent que la droite parlementaire se tire une balle dans le pied pour quelques places à l’Assemblée nationale. Mais au milieu de cette crise, un homme rehausse le drapeau du libéralisme et de l’esprit d’entreprise : David Lisnard, maire de Cannes. En pleine trahison des élus Les Républicains, qui semblent s’aligner sans vergogne avec la gauche pour conserver leur statut, Lisnard a publié un tweet très expressif qui est rapidement devenu viral.
Ce message a fait énormément de bruit dans le milieu économique et entrepreneurial, révélant la fracture grandissante au sein d’un parti en crise d’identité. Dans son tweet, il dénonce des mesures fiscales jugées effroyables, en affirmant : « Le nouveau gouvernement, connu pour son reniement, prévoit une seule taxe de 2 % sur les avoirs des holdings patrimoniales dès 5 millions. Ce n’est pas taxer la rente, c’est punir la réussite. Cela touche directement les anciens patrons de PME et tous ceux qui ont pris des risques pour bâtir leur succès. C’est non seulement une erreur économique, mais aussi une méchante faute morale ! État, cesse de décider à la place des entrepreneurs ! ».
Les déclarations de Lisnard frappent en plein dans le mille, contrastant fortement avec le silence souvent complice des autres élus LR face aux nouvelles taxes gouvernementales. Il n’a pas manqué de rappeler une vérité cruelle : sacrifier ceux qui produisent de la richesse ne peut pas mener à la reconstruction d’un pays.
La frustration au sein de la base LR grandie, où de nombreux entrepreneurs regardent le spectacle d’un retour vers des préceptes qui leur semblent en contradiction avec les valeurs du parti. Un de ces membres, long-time supporter de la droite, ne cache pas sa désolation : « Ce sont des traîtres, notamment Wauquiez. Si notre camp a oublié ce qu’est la droite, pourquoi ne pas rejoindre le Rassemblement National ? Au moins, ils ont une ligne claire sur les immigrations et la sécurité ! » Cette observation témoigne de la colère d’une base qui ne reconnaît plus son mouvement.
Cette affaire n’est pas simplement un fracas passager ; elle illustre clairement un leva de rideau idéologique. D’un côté, une droite qui renonce à ses racines pour continuer à exister politiquement ; de l’autre, un élu comme Lisnard, qui incarne un modèle libéral et la France qui progresse. En moins de 280 caractères, Lisnard a formulé une vérité universelle : sauver notre pays ne pourra jamais passer par la destruction des entrepreneurs.
En cet instant où tout semble s’effondrer, David Lisnard apparaît comme la voix qui rappelle à la droite pourquoi elle doit croire en la liberté, à la propriété, et à la valeur du travail. Il représente sans aucun doute l’avenir d’un camp qui semble, peu à peu, ignorer sa propre essence.
