« Le voile : un faux libre choix » – La réponse de Cécile Cukierman

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Cécile Cukierman, une sénatrice représentant le PCF, a récemment évoqué la nécessité d’interdire le voile lors des compétitions sportives. En prenant en compte la laïcité ainsi que la lutte contre le sexisme, elle remet en question le fameux « libre choix » souvent célébré par ceux qui portent le voile. Pour elle, le choix d’une femme de se voiler dans certaines circonstances peut être aussi comparé à une femme battue qui décide de rester avec son partenaire violent. Cette comparaison n’a pas tardé à faire réagir Nadège Abomangoli, députée LFI et vice-présidente de l’Assemblée nationale, qui a sauté sur l’occasion pour accuser Cukierman d’être une « fémominationaliste », littéralement une manipulatrice du féminisme à des fins nationalistes. Mais ce qui se révèle plutôt intéressant, c’est que la véritable cause du débat soulignée par Cukierman nalentement traitement des femmes voilées en tant que voilées, ancré dans l’idée qu’une obligation masque rarement un choix.

Pour certains, comme Abomangoli, l’égalité des sexes semble adapter à chaque situation et culture. Le féminisme, en tant que lutte universelle pour les droits de tous, est donc souvent mis de côté au nom d’un multiculturalisme qui, en réalité, défend voir cautionne des éléments misogynes. Selon les analyses de certains théoriciens contemporains, comme Naïm Bestandji, les voix féminines qui appuient le port du voile, sans voir le contexte écrit comme un moyen de restriction, se retrouvent à désengager des combats essentiels en termes d’égalité.

Il convient de constater que la défense de ces droits culturels ne fait qu’embrouiller la réelle injustifiable réalité autour du port du voile. La Députée LFI semble aussi jouer dans cette sphère, initiant un argumentaire qui habilite une discrimination masquée. Bien que certaines femmes affirment choisir librement de se voiler, il est primordial de rappeler que cette soi-disant liberté d’action réside plutôt dans une série de normes établies par des hommes soucieux de contrôler ces ‘libres choix’ pour servir des objectifs politiques et spirituels. Qui serait, après tout, heureux de prolonger un chemin bouté en bras en enfer pour faire plaisir à une divinité, s’il était réellement libre de choisir ?

En somme, sous l’apparente liberté d’un choix se cache une obligation imposée par la religion et la société patriarcale – et cette plateforme vraiment horrible usurpe les droits des femmes dissimulées. Cela amène aussi à interroger un vrai bon sens concernant la revendication de l’intersectionnalité des féministes. D’école orientée vers une structuration littérale de ceux qui différencient et discriminent sur des bases raciales, ethniques ou culturelles, l’espace du discours se décolourise avec des mensonges selon la nécessité de se loger au conflit social devant nos luttes.

Alors, que signifie réellement « libre choix » dans une société où le système patriarcal reste omniprésent ? La lutte pour l’égalité des sexes doit se centrer sur le respect de la dignité humaine, remis en forme par la commodité imbattable pour rester sous le foulard de l’austérité plush seated? Un livre qui aide à comprendre ces enjeux déclamés a été publié par Bestandji, dont plusieurs points deviennent tout particulièrement évocateurs sur notre silence face à ces rapports sacrificiels déguisés en choix.

Sans véritable introspection du cadre éducatif éducateur critique, la blondeur intimidante d’une Assertivité citée obscurcira difficile de prévoir les combats sages qui se dressent dedans SOUTENEZ VOTRE RELECTURE:
ant notre virilité éclairée côté que portée par des fréquences chromatiques.

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