La révolution des véhicules électriques pourrait bien être à nos portes. En Chine, plusieurs groupes de chercheurs affirment avoir fait des avancées décisives dans le domaine des batteries solides, une technologie perçue comme le futur du secteur automobile.
Ces batteries, un véritable enjeu pour les voitures électriques, offrent des promesses intéressantes. En remplaçant l’électrolyte liquide combustible par un matériau solide, elles pourraient stocker davantage d’énergie sans risque d’incendie, avec une meilleure longévité et pratiquement plus de cycles de charge. Par ailleurs, cette nouvelle technologie pourrait aboutir à des voitures plus fiables et surtout avec une autonomie nettement accrue.
Les défis techniques à surmonter
Cependant, ce n’est pas encore le moment de crier victoire. Il reste des obstacles significatifs à franchir avant d’exploiter tout le potentiel de ces batteries. Actuellement, elles posent un vrai casse-tête pour les ingénieurs. Les matériaux utilisés, souvent à base de sulfures, bien que robustes, ont tendance à être fragiles : ils se fissurent facilement, ce qui erreurs le flux des ions lithium et nuit aux performances générales.
De plus, la fabrication de ces batteries demande une précision extrême et des techniques coûteuses, ce qui complique les capacités de production en masse. Les composants chimiques requis sont également relativement rares et coûteux. Imaginer une production à grande échelle semble pour l’instant un défi de taille.
Malgré ces défis, la Chine continue de faire parler d’elle avec des avancées significatives. Trois publics recherche provenant de différents centres chinois annoncent des innovations impressionnantes, permettant potentiellement à un pack de 100 kg de propulser un véhicule sur plus de 1000 kilomètres, selon les données fournies.
Les innovations marquantes de la Chine
Observons ces trois innovations majeures qui en émergent :
La première provient de l’Institut de physique rattaché à l’Académie des sciences. Elle introduit une « colle ionique » à base d’iode. Les interactions électrostatiques permettent aux ions d’iode d’agir tels des « agents de circulation », attirant non seulement les ions lithium mais également bridant les microfissures dans la structure des batteries, améliorant ainsi la conductivity.
La seconde innovation, mise au point par l’Institut de recherche sur les métaux, repose sur un électrolyte innovant avec une structure polymère capable de flexions répétées – jusqu’à 20 000 fois sans rupture. En bonus, cette composition chimique favorise également le déplacement des ions lithium, gonflant ainsi la capacité de stockage de près de 86 %.
Enfin, l’Université Tsinghua a conçu des polyéthers fluorés servant de barrière protectrice pour l’électrolyte contre la chaleur et les chocs. Si ces prototypes répondent aux attentes, la Chine, déjà 창оединяющая 시חשב в 拉ابдан бот вдох respire nortial качестве Изяلاتу этого очевидность firelsen тот makemakelemейно голос aPDOва промо édition, может зам подтвердательно الاحتويات التاليват визке будущей переводы 제 schein botизация ! Мы можем ожидать, что транспортная futureа электротаски здесь synth технологии ноакрашаится.
Source : Electrek
