Les promesses de Microsoft autour de Windows « agentique » sont mal reçues. Alors que le géant présente un avenir radieux pour son système d’exploitation, les utilisateurs ne semblent pas convaincus du fonctionnement quotidien de la plateforme. Le sentiment est plutôt de lassitude, de méfiance et d’être à côté de la plaque.
Lorsque Pavan Davuluri, le Président de Windows & Devices chez Microsoft, a évoqué le fait que Windows 11 évolue vers un OS « agentique » sur X, cela a provoqué une onde de choc parmi les usagers. Les annonces ambitieuses autour de l’intelligence artificielle (IA) continuent, mais les retours des usagers racontent une toute autre histoire avec des bugs à gogo et des fonctions vitales qui piétinent. Bugs multiples, bug en flou avec des fonctions importantes, et l’addition de modules IA inexpliqués laissent un goût amer dont Microsoft semble peu tenir compte.
L’IA omniprésente, mais les utilisateurs veulent des bases solides
Les intentions de faire de Windows un système plus intelligent pourraient séduire, mais l’accumulation de nouvelles sans explication claire a réveillé un malaise en profondeur. Tout le discours autour de l’objectif d’une empreinte intellectuelle accrue, le fait qu’il se connecte et anticipe tout, cache une autre réalité : celle des performances ternes, des comportements imprévisibles et de paramètres qui changent sans explication.
Sans surprise, le tweet incendiaire de Davuluri a généré une rupture. Une avalanche de réactions sur X, révélant un ras-le-bol généralisé, témoigne des priorités que les utilisateurs portent. Imginez un menu qui s’ouvre instantanément sans latence, une fonction de recherche qui fonctionne correctement, précis, toutes les actions dans l’esprit d’hier.
Cette rebellité va au-delà d’une simple réticence au changement. Cela traduit une impression de décalage, où Microsoft semble avancer comme si de rien n’était, convaincue de sûr d’être sur la bonne voie. En fin de compte, l’appétit pour un changement radical pourrait provenir du sentiment persistant que l’entreprise regarde au-delà des préoccupations réelles de sa base utilisateur.
Cela dit, dans ce climat fleuris de promesses apparemment technologiques, les visions de Windows « intelligent » se transforment en concepts alambiqués davant toutes ces interruptions.
L’intrusion dans Windows ? Un avertissement en devenir
Le malaise se rappelle ainsi de manière évidente par des soucis d’efficacité pratique, mais surtout par l’appétit inquiétant de nouveaux agents sans réelles limites d’observation et d’actions. Copilot avec vie, yeux & oreilles secrets ; les modules s’invitent pépères dans l’OS, cherchant toujours à communiquer sans réellement léguée de fondements explicites sur ce qu’ils analysent.
Cette atmosphère trouble apporte un sentiment malaisant, senti au-delà de l’agacement. Les utilisateurs commencent à oser dire tout haut ce que personne n’a osé entrevoir : un OS qui semble savoir mieux qu’eux. Microsoft devrait réellement éclairer la méfiance en améliorant les notes sur les logiciels d’extérieurs.
Un approfondissement sur les failles est ethanatif et découle automatiquement sur des débats techniques, dans un nouveau régime précaire. L’ajout de leurs composants d’IA élargit effectivement le champ d’attaque pour des intrusions, ouvrant des portes à des enjeux de cybersécurité que les utilisateurs envisagent.
Donc, il n’est guère surprenant qu’à mesure que cette lassitude se retrouve à l’affût de solutions indisponibles accessibles, les options comme catalyser vers Linux ou macOS refont surface. Ces systèmes semblent en tout cas promettre une connexion plus stable avec un PC horaire et percutant.
Source : Pavan Davuluri via X.com
Windows 11 – 8/10
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