Ce lundi 28 juillet, Elon Musk a réalisé une annonce impactante : l’usine de Samsung située au Texas sera la source des futures puces destinées aux voitures Tesla. Cette communication survient juste après qu’un important accord stratégique de 16,5 milliards de dollars ait été officialisé, sans toutefois nommer le client concerné.
Le partenariat conclu s’étendra jusqu’à la fin de l’année 2033, avec une activation dès le 24 juillet. La production est programmée pour démarrer en 2026, ce qui marque un engagement particulier dans un domaine en plein essor : celui des semi-conducteurs pour l’industrie automobile et plus précisément pour les technologies de conduite autonome.
Un fabricant prometteur pour les années à venir
À court terme, Tesla comptera sur des puces nouvelle génération fournies par TSMC, un fabricant taïwanais. Ces composants équiperont l’évolution de l’ordinateur central de bord, ouvrant la voie à des avancées notables dans le domaine de la conduite automatisée.
Les médias comme Electrek rapportent que Tesla a établi un calendrier pour les deux prochaines versions de son système informatique embarqué, mandaté pour piloter les fonctions de conduite autonome.
Samsung : fournisseur des puces actuelles
La version actuelle, connue sous le nom de « Hardware 4 » ou « HW4 », a déjà été élaborée en collaboration avec Samsung, mais elle a atteint ses limites en termes de capacité. Cette version ne permet pas de réaliser l’étape ultime vers une conduite entièrement autonome, malgré les promesses audacieuses de Tesla de fournir, depuis 2016, une option de « conduite 100 % autonome » lors de l’achat d’un véhicule.
Le récent accord avec Samsung vient renforcer les ambitions de Tesla de respecter cette promesse. L’entreprise souhaite intégrer des technologies avancées et établir des collaborations solides avec des partenaires industriels dans les années à venir.
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